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Sexhumourologie ou la cuculthérapie par le rire

6 août 2013

Quand sauter de nuage en nuage, devient une expérience incroyable!

Le soleil se cache partiellement derrière les nuages aujourd'hui et alors ça me donne une idée... et si je vous parlais de mes nuages personnels et de mon 7ème ciel!?

Et là ni une ni deux, le sujet s'impose à moi de lui même, comme une évidence, je vais traiter aujourd'hui le thème de "L'orgasme" et principalement des orgasmes multiples et du multi-orgasme, ce qui pour moi n'est pas tout à fait la même chose!

Dans cet article, il me faut faire une ola d'honneur, au meilleur partenaire que la vie m'ai donné de mettre entre mes cuisses et que j'appelerai ici, pour raison de respect de sa vie privée, Mister B (comme Baise, Braquemard, Branlette, Boum chika wa.... ?? ... Non, juste B, comme son initiale, ne voyez pas toujours mon côté tordu, non mais alors!).

Il faut que je vous plante un peu le décor, Mister B et moi-même nous connaissions depuis un paquet d'années, quand est arrivé ce qui se passe logiquement entre un homme et une femme qui se désirent.... Et pourtant je jure au combien il était étrange pour moi d'admettre que j'allais faire l'amour avec B, ce même B qui connaissait tant de mes défauts et de mes erreurs passées, lui qui m'avait déjà tant de fois juger durement (et dieu sait que le jugement de son pantalon, semblait tout aussi dur à l'instant T)... Mais quelque soit l'étrange de la situation, pour la première fois depuis "jamais" je me sentais en confiance, prête à lâcher du lest!

C'était comme si avec lui je n'avais plus rien à prouver et était totalement libre d'être à la fois une amazone assoiffée de pouvoir et à contrario par le même temps, une geisha soumise et dévouée...

Et puis de toute façon, que faire d'autre quand deux corps se marient si bien et que l'alchimie est là, que de se laisser aller complètement et de ne plus écouter autre chose que son propre corps et celui de l'autre plongé en vous...

Alors ce jour là, c'est ce qui s'est passé, j'ai mis mon cerveau et mon envie de tout contrôler de côté et je me suis plongée à corps perdu dans cet échange de plaisir et dieu m'en est témoin (oh le cochon, a-t-il osé jeter un oeil?? En même temps vu son âge il ne doit plus lui rester que ce "youporn" humain pour sustenter ses envies libidineuses, car on ne me fera pas croire que dieu est chaste!!) au combien j'ai eu raison de le faire!

Tout ça pour comptabiliser, 3 rapports successifs..... oui Mister B, recharge très vite son six coups, sûrement plus vite que Mr Luky Luke lui-même, et croyez moi que dans cette situation, j'en ai été ravie.... Une quinzaine d'orgasmes, dont deux multi-orgasmes (oui oui je vais enfin en venir à vous expliquer la différence selon Dr A)... et enfin une réelle impression d'être une autre femme, déchargée des contingences matérielles de ce monde, allégée de ses soucis personnels, mais surtout débordante d'une sorte d'allégresse à la limite de la sensation procurée par une bonne dose de cocaïne!

Qu'entends-je par orgasmes multiples et multi-orgasmes.... déjà je fais une distinction entre les deux, car j'ai expérimenter la différence, lors de cette folle nuit avec Mister B...

Les orgasmes multiples sont ceux qui se succèdent avec un temps plus ou moins long de récupération entre les deux. Quand l'explosion a eu lieu, on sent comme un palier de décompression, une redescente dans les sensations, une accalmie, et la fois d'après la montée se fait de nouveau crescendo pour en arriver à ce même résultat de bouquet final comme pour clôturer le feu d'artifice du 14 Juillet.

Le multi-orgasme quand à lui, ne connaît pas cette phase où tout se stabilise pour mieux repartir, lorsque vous êtes au paroxysme, ça donne comme une légère impression de descendre dans un tunnel à grande vitesse, en voiture, une sorte de petit retournement intérieur, et .... paf, l'explosion est de nouveau là, aussi puissante, magique et délectable que la précédente, et cela peut durer plusieurs minutes.... Les contractions utérines de la première explosion n'étant à mon avis pas étrangère à la stimulation en continue du point d'impact G et donc de la non capacité à se mettre en mode fin de phase de lancement orgasmique!

Il y a parfois des occasions et des partenaires qui font que l'on souhaite que ça finisse vite, et bien là, croyez-moi où non, mais si cette nuit avait pu se prolonger sur une semaine complète, j'aurai signé pour, sans hésiter!!

Je souhaite à toutes les femmes de partager au moins une nuit de leur vie avec un homme qui puisse leur procurer les orgasmes (et endorphines concomitantes) que j'ai partagé dans les bras de Mister B. 

Et je me dis que si je peux souhaiter ça pour d'autres pourquoi ne pas me le souhaiter à moi-même.... alors tiens, et si je contactais Mister B et prévoyais de m'offrir, histoire d'oublier la crise et mes soucis persos, un "bis repetita" à ce moment inoubliable??!!

Allez les moules, je vous souhaite de bien frétiller après cet article un tantinet personnel et vous invite à de joyeux 14 Juillet sous la couette!!

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5 août 2013

Et si j'avais des fruits secs pour mon retour parmi vous??

J'ai l'impression que ça fait un bail que je ne suis pas venue vous sexhumourologer un coup, et j'avoue que vous commenciez tout bonnement à me manquer...

Alors je suis partie, tel un chevalier de la table ronde, à la recherche pour vous, dans mon esprit torturé, de tout plein de nouveaux sujets à traiter, qui parviendraient à mettre du fun dans votre été, et à vous donner de coquines envies de vous adonner au sexe, en toute liberté!

Le thème du jour serait un réel fantasme pour tout bon écureuil qui saurait lire, puisque je vais vous parler de manger du gland et de lécher de la belle noix de compète...

Hop hop hop, les récriminations, oui je sais, j'ai déjà traiter par le passé le sujet de la fellation, mais passer à table régulièrement n'enlève rien au plaisir de déguster un bon plat!

Et puis il y a tellement à dire, alors laissez moi me faire plaisir, en revenant sur ce sujet qui me fais chaque fois saliver d'envie et me donne des idées à milles lieues d'être sages.

Je vous ai dit auparavant combien il était important de savoir usiter chaque parcelle de votre bouche et de vos mains, afin de mettre au mieux votre partenaire dans une situation d'orgasme optimale, mais j'ai omis de vous parler de toutes ses parcelles anatomiques à lui, qui peuvent être aires de jeux buccales et qui ne se confinent pas qu'au pénis.

En effet certains hommes se contentent parfaitement d'une fellation se limitant à la verge, mais bien d'autres encore aiment qu'on les sollicite à d'autres endroits bien plus intimes ou insolites.

Il est des partenaires qui n'ont qu'une idée en tête, pendant que leur sexe est en vous, c'est que votre langue aille se perdre sur leur anneau arrière, et qu'elle tente de s'immiscer millimètres par millimètres dans leur fondement, leur donnant un plaisir qu'ils ne pourraient obtenir autrement.

D'autres encore se contenteraient aisément de se faire mordiller, lécher, gober, les testicules, pendant que votre main de manière énergique, leur tirerai sur le pompon. Avec eux, il ne faut pas hésiter à se souvenir de nos jeunes années quand on s'amusait à mettre un cornet deux boules dans nos gosiers bien trop petits, et penser à caresser délicatement la peau de leurs parties de votre langue joueuse, tout en aspirant les 2 noix dans votre bouche.

Pour certains un peu trop sensibles de la verge et auxquels on ne peut toucher, sous peine de "tirs à blancs" dans les deux secondes,  il y a néanmoins possibilité de les titiller de la langue soit en parcourant la partie située entre le nombril et l'aine, soit les téton pour ceux qui aiment, soit encore si tout cela reste encore trop sensible, le creux des reins.... dans ces cas là, ne pas hésiter à alterner, coups de langue et souffles rafraîchissants, frissons garantis!

Certains aussi, aiment qu'on leur lèche le nombril, les dessous de bras, ou les orteils.... oui en effet, pour certains et certaines ça peut paraître bizarre, mais pourquoi pas.... après tout comme le disait le générique d'Arnold et Willy "Faut de tout pour faire un Monde"!

Quant au gland, il faut savoir que certains aiment qu'on soit tendres, pendant que d'autres s'attendent à ce qu'on les serre, leur mette des coups de dents, ou encore les aspire à leur laisser des marques de suçons...

J'aime l'idée qu'à chaque homme correspond un mode d'emploi particulier.... que si besoin est, il suffise d'en changer pour découvrir de nouvelles coutumes, de nouvelles distractions...

Ils sont comme de jolies voitures mais aux options différentes, suffit de trouver le modèle qui vous correspond et de prendre la route avec!!

Juste un conseil, ne brûlez pas les limitations de vitesse, mettez la capote en cas d'intempérries et gardez en mémoire, que même les meilleurs modèles peuvent avoir des avaries...

Autoroute du sexement votre.

Docteur A

 

2 juin 2013

Petite allégorie ou Ode au tabagisme....

Je te porte à mes lèvres, te goûte et t'aspire

Sens bien, la puissance de tes arômes

Se déposer sur le bord de ma bouche 

En effleurant savamment mes dents,

A chaque aspiration.

Ma langue se repaît de ton petit bout chaud

Qui la brûlerait presque.

J'avale ma salive qui porte ton goût

T'approche de mes lèvres

Les entrouvre, te laisse entrer...

Et je te sent venir dans un nuage,

De fumée lactée et parfumée!!

 

En fait le sexe d'un homme c'est comme une cigarette, ça se fume, mais pour certains, c'est plus vite consumé que pour d'autres (va vraiment falloir que je fasse un article sur les éjacs précoces, moi....)

 

2 juin 2013

Notre cher "bigorneau" ne peut-il être à Marée Haute, que si il ressent un ressac intérieur????

Très bonne question que Voilà, Miss "Mafouf", en effet peut-on, même en étant très libérée et partisane du plaisir sexuel, laisser aborder notre esquif par tous les pirates qui se présentent, ou a-t-on un minimum besoin que nos matelots intérieurs se sentent en confiance et désireux de la chose???

J'utiliserai ici, une allégorie fort bien trouvée, pour traiter ce sujet, ou tout au moins, mon point de vue sur la question.

Car là, je ne peux malheureusement parler pour les autres, et suis donc bien obligée, une fois de plus de donner de ma personne, et de mes expériences personnelles!

Je dirai que mon calisson intime, est un peu comme une moule, ce mytiloïde qui grâce à son filament de Byssus (non, non, je jure, je ne l'invente pas, si si les mollusques sont aussi des cochonnes) se fixe de manière permanente (pour la plupart) à un rocher, et qui lorsqu'on les en décroche ne peuvent réellement s'harmoniser qu'avec une bonne grosse frite!!

Pour ma part, et bien que je sois de nature très libérée face à la gaudriole et aux multiples façons qui nous sont offertes de l'atteindre facilement (sites de rencontres en tout genre, soirée speed dating, soirée célibs avec bracelets en boite, ...), je suis sûre d'une chose, je ne peux réellement prendre mon pied qu'à la condition sinéquanone, de ressentir au moins ne serait-ce qu'un tout petit quelque chose pour le partenaire qui me fait face.

En effet pour en revenir à mon allégorie de tout à l'heure, je suis moi aussi en quelque sorte, un mollusque bivalve dont on peut quoiqu'il advienne, faire ouvrir les deux côtés de la coquille, avec un peu de force ou de persuasion, mais néanmoins seul une moule bien chauffée, s'écartera avec facilité et donnera réellement envie d'être visitée.

Or pour les moules, suffit de les tremper dans l'eau bouillante, pour qu'elles soient chaudes, mais me concernant je reste tout de même un être doté de raison, de sentiments, et surtout d'un cerveau (ce qui me différencie enfin de ce gentil mais stupide mollusque qu'est la moule), et il m'en faut bien plus pour me faire exploser le thermomètre intérieur.

J'avoue je suis ce qu'on appelle une cérébrale, de celles qui ont besoin que leurs deux hémisphères soient bien irrigués et en confiance, pour que mon sexe en fasse de même et soit alors le plus accueillant et le plus réceptif possible.

Et puis "liberté sexuelle" n'est pas nymphomanie, et je me dis que c'est en ça que ça doit principalement varier.

La nymphomane a un besoin irrépressible, qu'importe le partenaire, le lieu, l'heure, ... c'est compulsif, il faut qu'elle mange et se fasse manger... qu'un marteau piqueur lui défonce l'asphalte à l'instant "T", sans ménagement, quelques en soit les conséquences.

Alors qu'une femme libérée, aura juste envie de respecter son temple en lui apportant du plaisir, mais pas avec n'importe quel touriste... celui-ci devra être choisi suffisamment savamment, pour pouvoir éveiller du désir autant dans le cerveau que dans les tripes de sa partenaire...

Après comme dans la plupart de mes articles, il me faut tempérer, en admettant que sans être atteintes pourtant de nymphomanie (qui est je le rappelle au passage une vraie pathologie, avec traitements psychiatriques et comportementaux à la clé), certaines femmes font fi des convenances et ont un tel besoin de satisfaction sexuelle (très certainement pour combler un manque) qu'elle se font "pistonner" par tout le monde et n'importe qui sans avoir besoin de "supports émotionnels" comme la tendresse, la complicité, le partage, ....

Quoi qu'il en soit, et puisque Miss "Mafouf" m'a demandé mon avis, je me positionnerai en faveur d'un certain respect de soi, qui serait de tout de même préférer s'adonner aux plaisirs sexuels avec quelqu'un que l'on estime un tant soit peu... mais après ce n'est que mon humble avis, moi qui aime pouvoir me regarder dans la glace le matin!

Quoi que vous décidiez de faire de votre parc à mollusques personnels, gardez tout de même en tête que l'essentiel est ce que vous jugez bon pour vous, et n'oubliez pas, les Cirés pour aller en bord de mer, c'est pas du Luxe, alors sortez couvert(e)s!!

12 mai 2013

Le trajet en bateau dépend aussi de la taille de l'embarcation....

Pour toi copine Karine, belle blonde au regard lagon, qui a tant attendu que ce blog reprenne vie, oui il existe des questions qu'on pourrait retourner dans tous les sens, sans pouvoir y apporter réellement de réponse.

Cela ne nous empêche pas pour autant de les aborder et d'en rire, si besoin est.

Je sais qu'une chose te turlupine, la taille de la pine et la capacité ou non à y faire face quand nous femmes, nous trouvons confrontées à des extrêmes.

Car en effet, quelle situation embarrassante que de découvrir par exemple, que le mec qui nous fait fantasmer, ne l'a pas plus grosse, au déballage du cadeau, qu'une frite Mc Do!

Et ça, à part un super méga regard bionique, ou la création toute personnelle d'une équation mathématique permettant à coup sûr de connaître la taille et la circonférence de l'arme qui se trouve rangée dans le pantalon du monsieur, et bien c'est "au petit bonheur, la chance" comme on le dit si bien.

Je vais d'abord user d'anecdotes pour illustrer ce sujet.

Je débuterai avec le cas d'une ancienne connaissance, acteur X de profession, dont la circonférence de l'engin était telle que tout le monde le surnommait "double pé".

Il me rapporta un jour, que lors des scènes anales, et malgré la préparation que subissent les actrices (faudra que je vous en parle un jour, c'est sympa pour une conversation à rapporter dans un repas de famille), c'était à chaque fois une vraie boucherie, et que certaines avaient même du mal à simuler tant elles souffraient.

A contrario, j'avais une amie de boulot qui elle, d'origine asiatique, avait un vagin très étroit, et nécessitait à chaque fois l'aide d'un tube entier de vaseline, pour pouvoir être pénétrée par le sexe de son mari, qui était pourtant plus de la catégorie, si j'ai bien tout compris, des longs et fins....

Oui parce que non, je veux bien donner de moi pour enquêter, vous rapporter des faits importants, mais je vais pas non plus aller vérifier la marchandise dans d'autres caddies que le mien.

Cela peut peut-être vous étonner, mais Docteur A a des principes, et oui. Et elle ne va pas manger les saucisses qui trônent dans la choucroute de qui que ce soit d'autre.

Il ne manquerait plus que ça, déjà que je me visionne des trucs pas très catholiques, explore le net et ses articles tordus, c'est largement suffisant pour avoir à expier pendant une bonne centaines d'années.

Bon mais revenons-en plutôt à la taille du branchage de ces messieurs!

Et que dire, de toutes les anecdotes de mes amies, et de mes souvenirs personnels, où le membre intrus ne se faisait pas sentir, et où il semblait alors que notre couloir anatomique n'avait pour seul visiteur qu'un vers de vase essayant de se tortiller pour parvenir à atteindre difficilement le quart de la distance réelle pour espérer ne serait-ce que nous donner une légère sensation....

Mais quid aussi, des poutres de Bamako, et autres gouttières, qui à peine déballées ne nous donnent qu'une seule et même pensée commune "Oh Mon Dieu, mais ça ne va jamais renter"??!!

Alors oui, il y a des disparités évidentes, pendant que certains ont même du mal ne serait-ce qu'à la tenir avec une pince à épiler, d'autres parviennent à se gratter un bouton derrière le genou avec, et dans les deux cas, il y a, à n'en pas douter, de lourdes conséquences sur la vie sexuelle...

Et c'est ainsi que j'en viens à ta 2ème question, doit-on, comme au bon vieux temps des jeunes filles chastes, attendre avant de se laisser aller à la brouette béarnaise, au risque d'être terriblement déçue ou totalement épouvantée, ou bien au contraire doit-on prendre les rênes de la libération de la femme, et saisir l'opportunité de tester l'attirail dans l'heure?

Et là, je ne serai pas forcément de bons conseils, parce que je te dirai simplement, si tu le sens, vas-y, mais si tu le fais juste pour le faire, alors attends!!

En effet, même si réfréner ses ardeurs et laisser le désir s'installer a de très bons côtés, il faut aussi savoir laisser s'épanouir son lotus intérieur, et ouvrir grand ses pétales, même si là, ça doit signifier ouvrir grandes les cuisses!

Après tout il existe une théorie qui dit qu'un homme sait si il aimera une femme, dans les 15 premières minutes, donc quoi que tu fasses, et quel que soit le moment où tu décides de te donner à lui, si il te respecte et te considère, ça ne lui changera pas grand chose à l'affaire.

Toi par contre, si en effet la taille de l'engin est un critère essentiel à ton épanouissement amoureux, au moins tu seras fixée et ne risqueras pas de jouer trop longtemps avec les sentiments de l'autre.

En fait je crois que quoique je puisse en dire ou en penser, tout doit se faire au cas par cas, en suivant son instinct et en se laissant porter par le moment...

N'oublions pas que nous sommes des animaux!! Alors a-t-on déjà vu une tortue Luth mâle, attendant patiemment le 3 ème rendez-vous afin d'enfin pouvoir faire la bête à deux dos avec madame???

Faut arrêter avec les principes cathos arriérés qui te font croire que si tu couches, t'es damnée!!

Et puis toute façon, si t'es damnée, souviens toi qu'au moins en enfer ils ont le chauffage.... :-)

Enfin pour clore pour le moment ce sujet sur lequel on pourrait passer des heures, une petite touche d'humour, en visionnant ce lien!!

http://youtu.be/ZDRPr04Wgo0

A tcho plus, mes sexhumourolecteurs, je vous adore... et pense souvent à vous, alors à bon entendeur, à très vite!!

 

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1 mai 2013

Un peu de lèche vitrines.... ou l'apologie du cunni....

Je me souviens aujourd'hui, d'une conversation que j'ai eu il y a 2 ans de cela, avec une amie, dans l'arrière boutique de son magasin.

Nous parlions sexe, crûment, entre copines, comme on sait dorénavant que toutes les nanas le font depuis l'avènement de "Sex & the City".

Et c'est là qu'est venu s'insinuer au milieu de nos délires, le sujet du cunnilingus, broute minou, léchage d'escalopes, le truc qui à l'époque, et il y a jusqu'à pas très longtemps, me donnait juste envie de claquer mes cuisses sur la gueule du type qui aurait tenté d'entreprendre quoi que ce soit.

Que je vous explique un peu pourquoi, histoire que vous n'alliez pas vous imaginer tout plein de raisons erronées.

Je suis une adepte de l'auto-astiquage manuel, et de part ce fait, je sais me générer des explosions orgasmiques dignes de ce nom, lorsque je manipule moi même mon joystick.

Or, il faut bien l'avouer, malgré la tripotée d'hommes que j'avais pu avoir dans le cadre de jeux coquins, aucun n'avait été fichu de me procurer la moindre sensation, autre que de l'ennui, lors d'un cunni.

C'était plutôt comme si j'avais été une gamelle d'eau présentée à des chiens assoiffés, qui lapaient ça avec avidité et très peu de recherche esthétique.

Déjà qu'en soit, je ne trouve pas qu'avoir le sexe béant sous le regard  d'un homme soit du plus bel effet, mais si en plus c'est pour que rien ne se passe d'autre que le temps, qui semble alors bien long, à quoi bon!?

Enfin bon, ma très chère amie, que nous nommerons L, ne cessait de me répéter ce jour là, au combien le cunni était "magique", et comme il était bon de se faire allégrement "brouter le minou" en toutes occasions.

Je restais sceptique, campée sur ma conviction qu'aucun homme ne serait assez doué et à l'écoute pour trouver ce petit interrupteur qui ferait de moi tout à coup un être illuminé tel la grande roue des Champs Elysées.

Et puis est venu un homme, et avec lui des sentiments, mais surtout une langue experte, qui savait être à la fois douce et énergique, et les fesses entre ses mains, sa tête enfouie entre mes jambes, je dois dire ma fois, que son organe buccal a su atteindre la dextérité dont mes doigts seuls, savaient faire preuve jusque là.

Et c'est bêtement qu'à cet instant j'ai pensé à L, et c'est étrange je sais, mais comme j'aurai voulu qu'elle soit là pour voir ça.

Non pas que je sois exhibitionniste, mais c'était tellement impensable pour moi, que j'aurai voulu sur l'instant partager ça avec quelqu'un.

Alors au final, je me suis laissée aller, inondant la bouche avide de mon partenaire, remerciant dieu d'avoir créé cette langue, et me laissant maintenant espérer qu'encore ce plaisir me soit offert, maintes et maintes fois.

Enfin plaisir, oui et non, car il est étrange, comme à peine le moment détonateur passé, notre petit caramel tout gonflé d'excitation se transforme tout à coup en une zone un brin douloureuse et que le moindre contact donne alors la sensation de se faire frotter le clito au papier Émeri.

Ce qui à cet instant précis donne généralement, une moi se tortillant telle une anguille sortie de l'eau, tentant d'échapper à la bouche qui semble ne pas s'être suffisamment repaît de ma liqueur intime.

Et alors, je me demande, si pour nos amis "Les Hommes" le phénomène est identique, et si après une bonne pipe, eux aussi se retrouvent avec un gland à fleur de peau.... et c'est là que j'en viens à prier le ciel, de pouvoir être un jour ne serait-ce qu'une petite heure dans la peau d'une bite, oui oui, j'ai bien dis "une bite" pas un homme, juste pour en ressentir toutes les sensations internes, mais là est une autre histoire.

Enfin voilà, cet article bien personnel, pour vous signifier que me revoilà en selle, et surtout pour imager le dicton qui dit que "Y a que les cons (là en l'occurrence les clitos) qui ne changent pas d'avis"!!

8 février 2013

Tsunami, ou juste preuve d'un intense désir... comment gérer?

Une commande vient de tomber à l'instant :

"Dr A quand nous les femmes sous le coup de l'excitation, sommes un peu trop en mode forêt équatoriale, soit 100% d'humidité dans la pénombre de notre sous bois, que faire?"

Et avant même d'essayer de trouver un ersatz de réponse, je dois avouer que je trouve ça mignon, ça montre à quel point l'égalité des sexes n'est pas encore de ce monde!!

En effet est-ce que ces messieurs ont le tact de s'inquièter de cette étrange sensation d'être un escargot gorgé de bave, quand ils ont le plaisir de nous asperger les murs de la grotte de leur "slim" humain?!

Parce que bon, faut avouer quand même que la sensation "urne à foutre qui fuit", c'est pas ce qu'il y a de plus transcendantal... enfin de mon humble avis... après c'est comme tout, chacun voit midi à sa porte, et décide ou non de décorer son lupanar intérieur à sa guise!

Alors, mesdames, que faire quand notre chère minoute se retrouve submergée par les flots, et que l'inquiètude vient grandissante de ce que l'autre va en penser, et de comment il va prendre le fait d'être tout poisseux de nos fluides intérieurs??

Et ben rien, Enjoy, les filles, c'est que vous avez enfin découvert ce qu'est de réellement désirer l'autre!!

Parce que bon ok, Monsieur risque d'être un peu englué des poils pubiens et du bas-ventre, mais au moins aura-t-il la satisfaction de savoir au combien il vous fait de l'effet, et à quel point il est le bienvenu en vous...

Non mais sérieusement, c'est un peu comme si la gente masculine se sentait coupable de trop bander pour nous, or il vaut mieux un pavillon haut, laissant les étendards se déployer dans le vent, qu'un drapeau en berne qui tire la tronche et regarde ses pieds!

Et puis on le sait bien que la nature est bien faite, donc si y a besoin de lubrifier autant c'est peut-être pour permettre au "vaisseau allier", de se mouvoir facilement dans le dédale aléatoire de notre "vaisseau mère", parce qu'il faut dire que sans lumière dans le couloir d'entrée, ils ont vite fait de se cogner dans une porte...

Le seul petit inconvénient notable est, si le Monsieur ne présente pas sa lance, mais sa bouche avide, et là en effet cela peut-être un peu gênant, mais sachez que certains adorent avoir le visage couvert de sauce blanche, quitte à en avoir une narine bouchée pendant plusieurs jours!

Et puis si je ne vous ai pas rassurées avec tout ça, et bien il reste l'excuse du "Je suis désolée mais je vais aller faire un tit pipi avant, parce que je n'aimerai pas être coupée en plein milieu par une envie pressante, c'est tellement long et bon avec toi ;-)" et zou vous en profitez pour vous essuyer un brin, ou sinon glisser un petit mouchoir dans votre culotte un peu avant et débrouillez-vous pour l'utiliser discrètement avant intromission...

Mais quoi qu'en soit l'état de votre "taux de débordement", n'oubliez pas que c'est plutôt bon signe quand elle est à son paroxysme... et qu'après acte, il est toujours possible si ça colle d'un côté, comme de l'autre, d'utiliser une super invention qui s'appelle "La Douche"... A bon entendeur, vive la Cyprine!!

5 février 2013

Enquête de dernière minute... Les steaks hachés ont-ils une vie sexuelle??

C'est une question qui me touche de très près actuellement... peut-on, quand notre corps a subi des traumatismes et qu'il ressemble à un morceau de bidoche qui se serait fait attendrir par la masse d'un boucher, avoir envie de désirer et d'être désiré?

Pour ce qui est du désir, moi la poupée de chiffon que je suis actuellement (alors que j'étais en traversée du désert sexuel, cf le dernier article), le ressent... un espèce de feu qui brûle, comme si mon corps désirait goûter autre chose que de la douleur!! 

Mais poupée de chiffon n'est pas vraiment poupée gonflable, en ce moment...

Je ressens une envie sourde d'être prise jusqu'au débordement de plaisir, pour être submergée de salve d'endorphines, et ne plus rien ressentir d'autre qu'un apaisement temporaire.

Oui mais, il est bien beau de désirer quand on a rien à se mettre sous la dent... et puis désirer ne veut pas dire désirable!

Or à part un vieux pervers désaxé, qui pourrait avoir envie de jouir dans un corps démembré, qui tiendrait plus de la peau de bête passive, que de "l'escort" lubrique?!

Autant aller ce choisir un steak de première fraicheur chez le meilleur boucher, et après l'avoir fait réchauffer quelques instant au micro-ondes, tremper sa frite dedans...

Avec ou sans ketchup (et là je vire au gore, sorry... apparemment il me reste le côté humourologique de la chose, c'est toujours ça), mais si possible avec sauce blanche!!

Tant qu'à faire autant cracher sa pastille Valda liquide, quand celle-ci devient trop oppressante.

Et puis quand on peut à peine marcher, parler, bouger les bras, ça limite vachement les possibilités d'amusement!!

Je me verrai mal par exemple faire une petite "bitécure orale" à un partenaire, au risque que ma mâchoire dans une envie soudaine et coquine de se luxer, lui sectionne le membre en se déboîtant...

J'ai déjà du mal à manger en ce moment, alors manger du gland, sans façon, je préfère laisser ça aux écureuils!

Alors, j'essaie de trouver une solution, car il est sûr que la pratique de l'art sexuel tel que réalisé entre deux êtres, m'est inaccessible à plusieurs titres en ce moment, et que je ne suis absolument pas "branlo-bandable" pour un sou, même pas pour un "leu" roumain, c'est dire...

Et là je me dis qu'à part le super "oeuf vibrant à télécommande", l'un des must de la vente de sex-toys, rien ne pourrait réussir à se mouvoir en moi!

Mais tout d'un coup ça me déprime encore plus, et j'en viens à regretter, moi qui n'aime que le réel et "l'humain", cette période pas si lointaine, où je ne désirai plus.

Enfin, sortez pas vos mouchoirs, hein, c'est pas grave, le steak haché que je suis redeviendra j'espère, très prochainement, une belle bavette qu'un gentil carnivore voudra dévorée avec plaisir... et en attendant pour une personne qui souffre, il est cocasse de dire, que je n'ai qu'à "prendre mon mal en patience"!! ;-)

 

 

22 janvier 2013

Quand ça veut pas, ça veut pas....

Quoi de pire pour un auteur que d'être devant "la" page blanche, et bien croyez moi j'ai trouvé, la panne tout court pour un auteur sexhumourologiste!!

En effet, comment écrire sur le sexe, de manière drôlastique ou non, quand notre petit pays n'a pas reçu de touristes depuis bien trop longtemps, et que l'envie n'est pas là de démarcher sur internet, ou de proposer des bons Groupon, pour remettre au goût du jour "sa petite localité"??!!

Oui, il est vrai, l'appétit vient en mangeant, mais si t'es paraplégique, coincé dans ton lit, et qu'il n'y a personne pour te faire la bouffe, t'as alors un peu de mal à te sustenter....

Enfin bon, voilà, dépassé 30 piges, célibataire avec enfants, et bien ça réduit vachement les chances de se prendre un coup de dard par un gros frelon, les sorties en solitaire au bord de la rivière "séduction" se faisant de plus en plus rares!

Alors oui, mon paquebot du désir est coincé au port, et la cale est vide en mode néant absolu, même pas un grain de poussière sexuelle à mettre sous la dent des rats qui la peuplent... (c'est métaphorique on est d'accord, que vous ne vous mettiez pas à penser que Docteur A aurait des bestioles qui vivent entre ses guibolles.)

Et en même temps ça me rassure, les nymphomanes n'ayant jamais de panne, ça m'exclue de cette catégorie, au cas où un doute m'aurait titillé.

Quoi qu'en même temps c'est dommage, si y a plus que le doute pour me titiller autant le laisser faire, l'envie reviendra peut-être!!

Mais croyez moi, quand je vous dit, plus du tout, du tout, c'est plus du tout le goût de la chose!! Rien, nada, que dalle, pas un kopeck de début d'esquisse d'envie. On me proposerait une partie de jambes en l'air ou un atelier "scrap booking", que malgré tout mon ennui face à la chose, je choisirai le "scrap", c'est dire...

J'en suis même à me demander si je devrai pas aller consulter parce que bon, c'est pas que, mais c'est quand même un truc que j'aimais bien, donc why... ma culotte est sèche comme le Sahara en pleine canicule...

Me dites pas que je vais être obligée de rentrer au couvent des "cochonnes reclassées", ce serait comme si de PDG, du jour au lendemain je devenais "technicien de surfaces", et là ça fout les boules, sauf que moi les boules, ce serait bien que je veuille me les faire coller au cul, ça me ferait pas de mal tiens!!!

Enfin, bref, voilà, fallait que je vous parle de cette panne qui me turlupine, en espérant que la prochaine fois je me contente juste de parler de "pines", parce que c'est bien plus marrant....

 

14 décembre 2012

Les petites boites à surprises, en mode jolis cadeaux ou paquets à la schtroumpf farceur??

Hou mais qu'entends-je, ne serait-ce pas vos esprits de plus en plus sexhumorologistes qui me susurrent de passer à la vitesse supérieure et de vous parler de ce que j'ai bien pu voir dans les clubs échangistes dans lesquels j'ai travaillé au début des années 2000?!

Bande de petits coquins, je savais bien que derrière vos airs faussement indignés, se cachaient une fougue et un attrait particulier pour l'humour sexuel.

Et sachez que ça va vous faire plaisir, parce que c'est bientôt noël et des perles, des cadeaux bien gratinés, j'en ai plein ma hotte à souvenirs.

Je vous préviens, comme à chaque fois, je ne devoilerai pas tout tout de suite, un blog c'est comme le stade de la séduction, faut savoir baisser sa culotte, mais sans laisser libre accès à tous les orifices dès la première fois.

Ce que je peux vous dire assurément, c'est que dans les clubs échangistes, on ne s'ennuie jamais!

Que dire de la fois où j'ai maladroitement laissé choir un verre que je venais de ramasser sur une table au milieu d'une partouze, dit verre dont la trajectoire descendante a croisé inopinément une queue bien bandée, et qu'alors que j'étais embarrassée et présentais mes excuses au propriétaire du sexe sus-cité, me suis entendu dire avec un immense sourire, sur le ton du "reviens-y", "- Y a pas de mal, c'était avec plaisir"?!

Je peux aussi vous parler de mon petit couple, habitué à venir les après-midi...

Je fais un petit appartée, le sexe n'est point soumis au dictât du temps (sauf pour les éjaculateurs précoces, mais nous y reviendrons, car j'ai des choses à en dire. Oh que oui!), donc oui, ça baise matin, midi et soir dans notre beau pays, et le filon existant, pourquoi se priver d'ouvrir les clubs échangistes même la journée, alors que la clientèle est prête à débourser, dans tous les sens du terme?

Donc, revenons en à mon petit couple, une petite fin de trentaine, souriants, sympathiques, présentant bien. Ils venaient deux à trois fois par semaine, et avaient toujours la même façon de faire. 

A peine arrivés, direction les vestiaires puis les salons privés, dans lesquels ils restaient une petite heure, et enfin ils venaient prendre un verre au bar, et c'est là que c'était cocasse.

Parce qu'en fait, ils ne prenaient pas à proprement parler un verre, non, Monsieur se désaltéré de son "Perrier rondelle" habituel, pendant que Madame était plutôt au biberon à boire du petit lait.

En effet, lui me tapait la discute, pendant qu'elle lui nettoyait les outils après usage. 

Il était assez loufoque d'avoir cet homme assis face à moi, partageant avec moi sur tous pleins de sujets divers et variés, et de la voir elle, s'affairait sur sa queue comme si sa vie en dépendait.... ou peut-être est-ce parce qu'entre deux phrases, anodines ou sérieuses, il se penchait de temps en temps et l'attrapant elle par les cheveux, lâchait des "Hum tu l'aimes ma bite, ma petite salope", "Suce moi poufiasse, j'aime ça quand t'as les yeux plus gros qu'le ventre", ...qui me donnaient juste envie d'hurler de rire.

Tant de souvenirs, comme cette fois, où lors d'une soirée spéciale "SM", un homme à moitié nu, tenu en laisse, et se promenant à 4 pattes, est venu me lécher les chaussures alors que je débarrassais les tables.... Homme que j'ai vu quelque instants plus tard dans le carré VIP, qui faisait face au bar, en train de lécher le talon aiguille d'une femme, pendant qu'une autre lui enfonçait le sien dans le rectum (sûrement pour vérifier qu'il n'avait pas de cancer de la prostate, parce que sinon, je ne vois vraiment pas...)

Ou encore quand il nous a fallu trier les cassettes X du "Vice et Versa", parce que c'était celles que l'ancien propriétaire (Alban Serré, ex star du porno moult fois récompensé) avait laissées en cédant le club, et qu'on est tombés mon patron et moi, sur une vidéo de deux femmes, qui se mangeaient littéralement le caca, que j'ai bien cru me vomir dedans, tellement c'était... just disgusting!

Il faudra que je vous parle aussi des "peoples" que j'ai croisé et qui eux aussi, m'ont laissé de quoi en écrire des paragraphes complets, mais ça ce sera une autre fois, parce qu'il ne faut pas croire, mais entre Humour et Sexe, Dr A a une vie... ;-)

 

22 novembre 2012

Oooohhh Nananananana..... nisme!

Mais de quoi vais-je donc pouvoir parler, aujourd'hui, onanisme, gang bang, partouze, éjaculation féminine, .... j'aime cette liste non-exhaustive de réjouissances... mais j'hésite comme un gros queutard devant 10 fessiers à damner un saint!

Alors plouf plouf, je vais disséquer l'onanisme, sport hautement bénéfique sur bien des points, et dont nul ne devrait avoir honte, tant c'est essentiel!

Et puis un peu de sollicitude pour soi, ça respecte le proverbe qui dit que "Charité bien ordonnée commence par soi même", parce qu'après tout, on est pas des machines à donner du plaisir à autrui, non, on a le droit de se bidouiller soi-même, quelque soit le sexe ou les techniques!

L'onanisme, autrement appelé pour les néophytes, branlette, masturbation, tritouillage de fleur, ménage d'intérieur, récurage manuel,... devrait être érigé au rang de sport national, représenté aux JO, car il ne faut pas croire, c'est une réelle discipline, un vrai don de soi.

Cela demande concentration, technique et doigté, un minimum de connaissances basiques (de l'anatomie humaine, en l'occurrence), de la douceur, de la rigueur, et de la persévérance ... en gros toutes les qualités recherchées par tout bon chef d'entreprise lors d'un recrutement.

Et ce n'est pas tout à fait éloigné!

On est sur le moment, l'employé de son propre corps, le larbin de ses désirs et de son plaisir, rien ne compte que de remplir de manière optimale la tâche que l'on s'est impartie, soit de se faire grimper aux rideaux de ses doigts experts (mais pas comptables)!

Enfin, doigts, certains et certaines utilisent bien d'autres réceptacles à leur plaisir, et un panel incroyable de substituts existent (j'ai l'impression sur le moment de parler de patch à la nicotine :-D ) tels poupées gonflables, bouches aspirantes, vagins électriques, ou Gods, vibros, oeufs, anneaux clitoridiens, ....

D'ailleurs à ce sujet, paix à son âme, j'ai tué le mien à la tâche, enfin quand je dis le mien, je parle en fait d'un masseur de dos, détourné en masseur à clito, et franchement c'était plus qu'un ami, un être essentiel à ma vie.

J'avoue même avoir eu un pincement au coeur quand il a fallu le déposer au fond de la poubelle... J'entends encore son dernier petit bzuuut bzuuut, et son tressaillement accompagné d'une petite étincelle, quand il vint à trépasser entre mes jambes avides!

Depuis je fais sans, et j'ai retrouvé à nouveau le plaisir de pratiquer les choses par moi-même, comme tout bon camionneur, qui coincé dans l'étroitesse de sa cabine, regarde un vieux calendrier de Pamela Anderson, moult fois utilisé, et d'une couleur plus que douteuse.

Après l'onanisme peut aussi être pratiqué à plusieurs, en face à face, chacun se tripatouillant ce qu'il a à exciter pour se faire venir.

Donc tout est possible, en couple, entre copines, entre potes disposés savamment autour d'une biscotte, en réunion professionnelle (qui sait ça peut détendre, ou tendre, au choix, l'atmosphère)... avec ou sans stimulants visuels, sous la douche, dans son lit, sur un scooter dans son garage, qu'importe l'essentiel étant de se faire plaisir.

Tiens mais ne serait-il d'ailleurs, pas l'heure, de mon tapotage de clavier personnel?? Allez j'y vais, me toucher de ce pas, et si vous le faites aussi, alors pensez à moi! ;-)

11 novembre 2012

Quand j'étais petite j'aimais la maison des horreurs....

Ce soir j'ai envie de vous parler d'un truc un peu perso, parce que j'espère que vous l'aurez compris, je jongle beaucoup avec la fiction et l'humour, mais parfois au détour de ces pages, vous découvrirez des morceaux de moi, libre à vous de les lire ou de choisir de rester dans le volage et le superficiel!

Aujourd'hui, j'ai envie de vous raconter une anecdote de ma vie, qui avec le recul me fait énormément sourire.

Je devais avoir 21 ans et des poussières, et j'étais à l'époque au chômage, à enchaîner les entretiens d'embauche, et c'est au cours de l'un deux que j'ai croisé V. 

Look entre vulgaire et gothique, une gouaille immanquable, pas belle mais avec une putain d'aura sexuel à en faire bander le Manukenpis....

Ca a tout de suite collé entre nous, et dans l'heure qui suivit l'entretien, nous étions devenues potes!!

A cette époque là déjà, je maniais la sexhumourologie à outrance, la faisant manger à tout le monde, à toutes heures et à toutes les sauces!

Si bien que peu de temps après notre rencontre, V me dit "Toi, tu parles trop d'cul, va falloir qu'j'te calme un peu! Tu vas voir, je vais t'emmener quelque part samedi soir. J't'en dis pas plus."

J'admets que le samedi soir arrivé, je n'étais pas très fière, où allions nous, quel genre de soirée cela allait être??!!

Tout ce qu'elle avait bien voulu me glisser, était qu'il fallait être très bien habillée et en robe ou jupe....

Nous voilà partis, elle, son homme et moi, direction l'inconnu, en tout cas pour moi, si tant est que je savais tout de même qu'on se dirigeait vers Paris!

Et vous me croirez ou pas, ils m'ont emmenée passer la soirée, au Donjon aussi connu comme Le Château, soit pour celles et ceux qui ne connaîtraient pas, un club échangiste!

Elle y avait bossé par le passé, et donc connaissait tout le monde, les serveuses, le patron de l'époque Raphaël (est-ce encore lui), ce qui fait que malgré ma tension et mon stress, je me sentais bien, en tout cas bien accueillie.

Nous sommes pas restés bien longtemps, juste boire un verre, après m'avoir fait faire le tour de l'établissement, mais comme il était tôt les salles de "baise" n'étaient pas encore occupées, et franchement c'était tant mieux.

Et c'est en buvant notre verre, qu'est arrivée l'anecdote dont je voulais vous parler.

Il y avait cette femme sur la piste, vêtue d'un body en lycra noir et d'une jupe, et qui n'arrêtait pas de se trémousser. Elle devait avoir un âge déjà bien avancé et tout dans son corps était disgracieux! Je la trouvais laide et peu ragoûtante, même pour quelqu'un qui serait sorti de prison la veille!!

Toujours est-il qu'elle s'est rapprochée de notre table et s'est mise à danser de manière beaucoup plus lascive, faisant onduler ce corps qui n'avait aucune forme définie (un vrai mystère géométrique).

Puis elle a oté ses chaussures et sa jupe, et elle était là, dans son collant opaque, toute boudinée, son body tiré par trop de choses indescriptibles, tournoyant sur elle même et regardant dans notre direction.

Et c'est quand j'ai vu que mes deux acolytes se fendaient la poire à mes cotés, que j'ai compris que ce qui devait passer pour une sensuelle danse de séduction, mais qui à mes yeux était une torture, m'était non moins destinée....

Le pire dans tout ça, c'est que j'avais beau vouloir fuir cette image, cela m'était impossible, car du sol au plafond c'était paré de miroirs.

J'ai donc terminé cette expérience, on regardant mes genoux, et en priant très fort pour qu'elle comprenne que je n'étais pas intéressée et cesse très vite cette barbarie..

Je ne peux terminer ce petit aparté "personnel", sans vous dire, qu'en repartant et en nous dirigeant pour aller récupérer nos manteaux aux vestiaires, nous sommes obligatoirement passés devant la première salle "de jeux" commune, et j'ai eu le droit au spectacle ahurissant d'une giga partouze autour d'une table ronde et tournante!!

Euh, ça fait bizarre, quand même, sur le moment, et à la fois on se sent curieux, enfin moi en tout cas, c'est ce que ça m'a fait....

Sachez que ce ne fut pas ma dernière expérience dans un club de se type, mais ces fois là, j'y travaillais!! Vous inquiétez pas, je vous raconterai... ;-)

 

9 novembre 2012

Après Sodome et Gomorrhe........ sodomie et gonorrhée!

J'ai une commande spéciale, qui a été passée il y a quelques jours (par un homme assez douteux! Il se reconnaîtra), sur le thème très délicat de la sodomie!!!

Waouhhh une vraie enquête de profondeur était alors nécessaire, voilà donc mes derniers jours passés à mater des extraits de sodomies, pour m'imprégner non des odeurs, mais des pratiques diverses!

Et je crois qu'il y a, au final, autant de sodomies différentes, que de coucheries vaginales.... 

Vous serriez étonnées et même parfois dégoûtées de voir ce que j'ai pu voir, pendant mes recherches, mais à la fois c'est passionnant de constater à quel point le corps humain peut parfois supporter des choses "hors-limites"!

Donc entamons avec la sodomie de base, celle qui a lieu lors d'un rapport banal entre chouchou et bobonne, elle vient souvent après une intromission vaginale, monsieur aura très certainement déjà introduit au préalable deux ou trois doigts, pour prévenir l'hôte que son invité ne va pas tarder!

Pas besoin de préservatifs, ils se connaissent.... enfin les pauvres si ils savaient tout ce que peut receler un anus comme gentilles bestioles indésirables!!

Monsieur fera certainement des allers et retours entre l'une et l'autre des cavités. Se servant de l'une pour humidifier sa grosse clé, afin qu'elle pénètre sans encombres dans la serrure de l'autre!

Après, il existe aussi, la sodomie de "j'm'en tape de cette meuf, faut juste que j'me la tape", rapide, sèche, à coups violents et répétés, et que je te la sors de l'anus, et que je te la mets dans la bouche (hummmm, encore une fois, les petits microbes s'éclatent comme des petits fous, ils sont de sortie)!!

Dans ces cas là, c'est plus un tour de force, qu'un rapport entre deux personnes qui s'aiment et veulent malgré tout sauvegarder l'image de "bobonne" intacte...

Et alors que dans le premier cas, ils auront certainement opté pour la basique levrette, dans le cas présent, les partenaires prendront des positions parfois rocambolesques, comme par exemple la brouette moldave, ou l'équerre japonaise à angle de 110°.

Il faut reconnaître qu'à moins de crises hémorroïdaires, ou de fissures anales, la sodomie a un avantage, elle se pratique à toutes périodes de l'année, ce qui pour les assoiffés de sexe, peut être non négligeable!

Il faut à présent, que j'arrête de retarder les choses, et que je vous parle enfin de ce que j'ai vu aux détours de mes investigations!

Alors sachez, qu'on peut techniquement mettre jusqu'à 3 verges dans un anus, et oui, foi de mes yeux, vu!

Que la double pé, annale/vaginale semble être le summum du plaisir féminin, à vous de voir après si vous prenez l'option deux hommes, ou un homme et un toy, un homme et un bras...!

Qu'il peut aussi être possible de mettre deux avant-bras, ce qui est donc un double fist, et qu'il m'a été possible de ne le supporter que quelques secondes, tellement la vision était..... y a pas de mots!

Autres situations, pour lesquelles je reste muette de stupeur, d'effroi, d'admiration, d'incompréhension métaphysique, je ne sais, c'est l'auto-sodomie avec un étron que peuvent pratiquer certains ou certaines scatophiles.

Vous noterez tout de même, que je me dévoue corps et âmes, pour vous ramener un maximum de faits précis, et là en l'occurence, c'est surtout mon âme qui en a souffert!

Pour tout vous dire, j'étais bien obligée, je ne pratique pas, car en effet "serrure forcée sans oindre d'huile dégrippante, et sans l'accord du propriétaire s'appelle une effraction", mais c'est une vieille histoire, donc passons dessus!

Je ne peux finir cet article sans vous parler, de "The end of Sodomy", parce que si y a bien un truc qui m'a éclatée, c'est ça!! 

Alors il y a ceux qui se terminent simplement en restant bien serrés dans l'écrin anal.

Ceux qui la sortent au dernier moment et tartinent leur semence sur la croupe de leur partenaire, demoiselles ou damoiseaux à leur guise (ceux là je les soupçonne, d'être fétichiste "crèmes hydratantes").

Il y a la finition vaginale. Sachant que si c'est sans préservatif, j'imagine bien les petits spermatozoïdes dansant en compagnie de jolis virussettes de papillomavirus, ou autres merdes (humm ça tombe à pic, tiens). Petite question à ce sujet, les scatophiles, sont-ils des fruits de ces unions pleines de fluides humains?

Et enfin la quintessence du cracra, quand on y pense, la finition buccale. Hummmm un vrai plaisir gastronomique!!

Sur ce, je vous abandonne, je vais vomir....

8 novembre 2012

Sperme et déprime........ et quoi en prime?

Le sujet du jour me vient d'un article lu sur facebook, et qui assurait que les femmes n'utilisant pas de préservatifs était bien plus épanouies et équilibrées que les autres!

En effet, il apparaît que le sperme, a des propriétés qui permettent d'avoir le moral au beau fixe, et de se sentir bien!!

Et là, tout plein de questions me submergent le peu de cerveau que la vie a bien voulu épargner, et il faut que ça sorte, que je les éructe et vous les couche ici!

Premièrement, si cela est vraiment le cas, pourquoi les psychiatres tentent-ils de mettre le maximum de patients sous gelules chimiques, alors que pour les femmes, il suffirait de leur prescrire des tampons au sperme?!

Et d'ailleurs pourquoi les psy, au passage, s'il suffit de se prendre une bonne giclée pour se sentir bien?

Et rien qu'avec ça, tout plein de théories peuvent-être échafaudées, et de raisons avancées :

          - Le sperme c'est comme le blanc d'oeuf, une fois sortie de la coquille, ça ne se conserve pas!

          - Vaut mieux être déprimée que sidéenne!

          - Entre Lexomil et Syphilis, moi j'ai fait mon choix!!

Non parce que c'est vrai, c'est bien d'avoir le moral, ok, c'est important, mais sérieusement une bonne déprime et bien plus enviable, qu'une "chancrelle", une "gonococcie" ou un "trichomonas"!!

Alors certains petits malins me rétorqueront qu'une "blennorragie" ça ne tue pas, alors que la dépression peut le faire, mais avec tous ces "si" et ces "je sais que", c'est pas comme ça qu'on va éradiquer les crobes qui pullulent dans nos dessous, ou éviter aux dépressifs de ce coller une balle dans la citrouille (Halloween c'est y a encore pas si longtemps, faut être dans le moove)!

Par contre une dépressive suicidaire peut coucher sans préservatifs, comme ça elle met un peu de suspens dans sa vie, parce que si on y réfléchit, elle a alors, trois destinées qui peuvent se présenter à elle!

- Elle a une chance de se chopper une merde et d'en crever et c'est tout bénèf!

- Elle guérit de sa déprime et n'a rien attrapé et c'est tant mieux. Elle va pouvoir continuer sa vie et être à nouveau dépressive dans quelques années...

-Elle guérit, ne veut plus être suicidaire, mais apprend que manque de bol elle va crever, et la mouwahahahaha!

Rajoutons à tout ça, qu'en plus, tu peux te chopper un môme... ben quoi fait pas cette tête.... les mômes c'est comme les virus ça s'attrape, non?

Et là c'est l'apothéose de ta vie... Pour peu que tu sois pas soignée par toutes ces baises non protégées, tu es donc obligée de te taper des anxiolytiques ou autres petites pilules chimiques, et c'est ce qui sortira alors de toi, qui aura de quoi être déprimé, vu son état!!

Par contre, je demande que ces chercheurs aillent plus loin dans leurs recherches, car quid des homosexuels??

Le sperme a-t-il les mêmes interactions sur le moral, qu'il transite par la flore vaginale ou anale??

J'avoue c'était pas très sexhumourologique tout ça, mais il me semblait important de soulever le problème... et pour me faire pardonner à très vite pour la "sodomie"!!

4 novembre 2012

Inégalités, particularités... c'est pas le tout de savoir bouger!

J'ai très envie d'aborder avec vous, entre nous, de manière discrète et confidentielle, les petits défauts de ces messieurs!!

Mais pas n'importe lesquels, les petits défauts et caractéristiques particulières, de leurs meilleures amies, Mesdemoiselles Quéquettes, Verges, Bibites, Pénissettes, et cie...

Hannnn, les spécimens masculins qui auront eu le courage ou la curiosité de se plonger dans ce blog où le sexe est décortiqué avec un oeil très féminin, vont très certainement me haïr, à partir de maintenant!!

Alors hop, c'est parti, sortez vos fouets et flagellez moi en place publique!! :-P

Nous sommes d'accord, avant tout on le sait bien, il n'y a pas deux membres identiques, tout chez eux varie, la longueur, l'épaisseur, le grain de la peau, la pilosité, la couleur, et tant de petites choses, qu'il est impossible de trouver un jumeau, à celui qu'on tient dans la main (ou dans la bouche, si on en est resté à l'article 1er de ce blog)!!

Pour ma part, j'aime bien les champignons de bonne taille et de contenance charnue, avec un joli chapeau brillant et lisse, de bonne circonférence, et dont le toucher s'apparente à celui du satin...

Et oui, j'aime le Champignon de luxe, version Maserati du Champignon!!

Après il peut y avoir des variations, comme je le disais, et pour ma part, une variation membresque avec une légère inclinaison sur la gauche, serait la perfection, car n'oublions pas qu'il faut que la chose s'adapte à notre intérieur!

Iriez-vous mettre un canapé rond, dans le coin d'une pièce, ou au contraire un canapé rectangulaire, quand au final les murs sont tous incurvés?? Non!! Et bien là, c'est pareil, un peu de logique, tout de même!

L'homme et la femme, sont comme des pièces de Légo, pour que l'édifice soit solide, faut que ça s'emboite parfaitement, que les pièces soient idéalement concordantes.

Donc on évite de choisir un asticot, quand on recèle soit même une grotte pour Yéti, ou inversement si on a un vagin de la taille d'une galerie de lombric, on évite d'y introduire un tronc de Baobab!!

Après, tout dépend si on fait partie ou non, de la catégorie des "A.S.I" (Aventuriers du Sexe de l'Impossible), et là toutes les configurations sont alors probables...

Mais revenons en à nos moutons, enfin plutôt à nos membres turgescents, sachez qu'il ne faut pas toujours se fier aux premières apparences!

En effet un sexe qui peut paraître imposant au repos peut ne pas prendre beaucoup plus d'envergure une fois le tsunami sanguin arrivé aux portes de ses vaisseaux, alors qu'une petite chose décharnée endormie, peut se transformer en "tigre de combat" qui n'a plus peur de rien, comme dans les "Maîtres de L'Univers" et réussir à terrasser votre Skelletor intérieur!

Il y a des particularités fort gênantes, comme un prépuce trop serré et qui empêche la langue de pouvoir jouer aisément avec le gland, des verges hirsutes dont la pilosité ne s'arrête pas seulement aux testicules mais a décidé d'envahir le tronc de l'arbre comme du lierre, ce qui donne l'impression, quand les poils sont courts et drus, de faire une branlette à une pierre ponce, et plein, plein d'autres petits détails qui peuvent-être "tue l'amour"!

Mais ménageons pour le moment nos lecteurs masculins, que j'imagine bien être en train de faire une revue de détail de leur pénis...

Et si votre bonté d'âme, vous pousse, à m'envoyer un mail pour me décrire avec précision, les verges à caractéristiques, que vous avez pu croiser sur le bord de votre chemin, je me ferai un plaisir d'en dresser un tableau non exhaustif...

Parce que merde après tout, eux ne se gênent pas pour nous traiter comme des esclaves qu'on regarde sous toutes les coutures, avant d'acheter, donc bon "rendons à César ce qui est à César"!! ;-)

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Sexhumourologie ou la cuculthérapie par le rire
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